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La tradition thérapeutique essénienne et égyptienne concerne l’être dans sa triple constitution corps-âme-esprit. L’ensemble des connaissances que ces soins requièrent amène le thérapeute à travailler avec cette énergie universelle qui porte le nom de prâna, œuvrer avec les chakras et les nadis ainsi qu’à pratiquer une chirurgie des corps subtils.
Ces thérapies se préoccupent de :
Je vous recevrai dans un espace agrémenté d’une diffusion d’huile essentielle et de bougies, accompagné d’une musique sélectionnée avec soin afin de créer une ambiance propice à recevoir ces merveilleux soins sacrés.
Un protocole de soin énergétique avec harmonisation des corps subtils précédera les soins choisis lors de l’entretien.
Lors du soin, il y a un contact doux et respectueux sur la peau afin de déloger les scories et propager l’onde de soin sur des points précis, le long des canaux énergétiques des nadis, des chakras et des sous chakras. L’utilisation d’une huile consacrée est également utilisée.
Prévoir environ 90 à 120 minutes pour la rencontre incluant l’accueil, la séance et le retour à soi.
Tarif : $110
Une soixantaine de soins sont proposés selon votre besoin allant de façon plus générale (peurs, grande fatigue, état de choc, circulation des jambes, formes-pensées, mémoires cellulaires, dépression, émotivité profonde etc…) à des soins plus spécifiques selon les pathologies (diabète, hypertension artérielle, asthme, bronchite, régulation de la thyroïde, etc…) ou des soins au féminin (pré-ménopause, ménopause, endométriose, infertilité, cycles féminins irréguliers, fausses couches et avortements, etc…)
Et beaucoup plus de soins encore non mentionnés sur cette page ….
Pour une liste plus complète:
Les soins dits Esséniens et Égyptiens sont en fait beaucoup plus anciens que leur nom ne le laisse entendre. On peut affirmer qu’ils n’ont pas d’âge puisque leur origine remonte vraisemblablement à des temps immémoriaux.
On les appelle simplement ainsi en raison de leur importance au sein des deux dernières Traditions qui les ont particulièrement structurés, l’essénienne et l’égyptienne. À notre époque, ces thérapies sont réapparues en 1984 dans le Périgord par l’intermédiaire de Daniel Meurois au cours de très nombreuses canalisations publiques s’étalant dans un premier temps sur une période d’un peu plus de 10 années. Leurs descriptions et l’état d’esprit qui doit présider à leur mise en application ont été retranscrits manuellement par Daniel Meurois lui-même mais aussi enregistrés sur bandes magnétiques, devant une petite assemblée dont Anne Givaudan, alors son épouse, faisait partie. Anne fut donc en première ligne pour recueillir les enseignements retransmis par Daniel. C’est à ce titre qu’elle a pris la décision de communiquer publiquement les thérapies canalisées par Daniel lorsque celui-ci a quitté la France pour le Québec, en 1996.
Parallèlement à cela, précisément au Québec, Marie-Johanne Croteau pratiquait discrètement des soins énergétiques de façon innée depuis sa jeunesse. Habitée par la mémoire de l’une de ses vies passée auprès du Maître Jeshua, l’ensemble d’une série de pratiques thérapeutiques lui est progressivement revenue. Lorsqu’elle a rencontré Daniel Meurois en 2001 à Montréal, l’un et l’autre se sont tous deux aperçus qu’ils avaient en fait la même façon de pratiquer les soins.
Enseignement complet sur l’origine
des Thérapies Esséniennes et Égyptiennes
Parce qu’à un moment donné peut naître un flou lié à la
méconnaissance de ces pratiques d’inspiration solaire et stellaire qui
remontent à la nuit des temps, un historique bien complet de cette
Tradition thérapautique qu’il a été convenu d’appeler “essénienne et
égyptienne”, est apparu nécessaire, afin d’avoir des bases solides
pour en parler…
par Daniel Meurois © (Cordoue, Espagne, mai 2018)
Au sein de notre culture moderne, on va essentiellement rattacher cette
Tradition thérapeutique à l’Égypte et à la Galilée du temps de Jeshua.
Sans se perdre dans le cosmos, c’est-à-dire sur un plan purement
terrestre, on peut remonter à environ 18 millions d’années, au moment où
la Sphère de conscience de Shambhalla a été implantée sur Terre par ces
Êtres que l’on appelle globalement les “Elohims”(1).
Au niveau non-terrestre, l’origine lointaine de ces thérapies provient de la
Sphère de conscience de la planète Vénus. Notez bien que nous utilisons
le terme de “Sphère de conscience”, qui fait référence au plan éthérique
sur lequel vivent ces Êtres et pour ne pas dire “extra-terrestres” où tout le
monde vous rigole au nez et où vous perdez toute crédibilité. Cette notion
de “Sphère de conscience” est en effet globalement mieux acceptée par le
grand public qui admet plus l’existence d’univers parallèles que de formes
de vies sur une autre planète. Cette notion est également plus juste car
plutôt qu’une référence à un lieu géographique, elle admet un état de
réalisation intérieure.
Antérieurement à cette sphère de conscience, on peut, au sein de notre
cosmos, parler également des Pléiades, parce que cette Sphère de
conscience est celle qui a initié la Sphère de conscience de de la planète
Vénus et ce que ces Êtres de Vénus sont devenus aujourd’hui. Pour ce qui
nous concerne en tant qu’humains de la Terre, on peut donc parler au
sujet de cette Tradition, d’une chaîne de transmission. Par ailleurs, cela ne
signifie pas que ces connaissances n’aient pas été transmises
parallèlement dans d’autres mondes…
Pour en revenir à notre planète, il convient donc de partir de l’univers de
Shambhalla, cette espace vibratoire implanté sur Terre il y a environ 18
millions de nos années. Cet Enseignement est parti de quelques Maîtres
réalisés de cet univers afin d’être communiqué un peu partout sur Terre en
vue de former certains êtres humains qui, petit à petit, atteignirent eux-mêmes
le stade de Maîtres réalisés puis purent rejoindre la Sphère de
conscience de Shambhalla. Le but n’était pas que l’univers de Shamballa
soit uniquement peuplé d’Êtres réalisés venant d’autres mondes; le but
était d’amener un certain nombre d’humain. Il s’agit d’un travail de longue
haleine sur des millions d’années (18 millions d’années ne sont rien à
l’échelle du cosmos), et qui représente l’expansion de la Conscience sur
Terre…
Dans notre présente Vague de création, cette transmission est d’abord
passée par ce que l’on pourrait appeler l’époque hyperboréenne.
La civilisation hyperboréenne a duré X milliers d’années puis l’a transmis
à une civilisation que l’on pourrait appeler globalement de type
“lémurienne”, laquelle a fini par transmettre les connaissances à la
civilisation atlantéenne. La civilisation atlantéenne n’est pas seulement
une référence au continent atlante mais doit avant tout faire référence à
une époque donnée s’étendant sur des dizaines de milliers d’années.
Dans toute grande époque, on trouve des continents et des cultures qui
ont dominé mais lorsque l’on parle de la civilisation atlantéenne, on pense
d’abord au continent de l’Atlantide, alors qu’en réalité il est question d’une
immense période de temps durant laquelle, a un moment donné, le
continent atlante a dominé, alors qu’en même temps le continent de type
lémurien continuait à coexister. On parle-là de prédominance, d’une forme
de culture sur cette Terre.
Arriva ensuite la fin de la période atlantéenne à laquelle il y eut encore un
grand bouleversement, puis le flambeau fût finalement transmis aux
Égyptiens il y a environ 12 000 de nos années.
La civilisation égyptienne, même si elle existait déjà du temps de la
domination Atlante, est celle qui a recueilli l’essentiel du flambeau de la
culture atlantéenne. Après la restructuration de la Terre qui eut lieu après le
Déluge, les premiers Pharaons étaient de race noire. Ils remontaient de
Nubie et ce sont eux qui, les premiers, ont remis en vigueur les
enseignements de la civilisation atlante.
À un moment donné, cette culture de nature thérapeutique, qui était en
même temps une culture d’ordre spirituelle (dans ces temps-là il n’était
évidemment pas question de parler de santé du corps sans parler de
santé de l’esprit, de la conscience et d’une espèce d’équilibre psychique),
s’est un peu éparpillée avec l’éclosion de certaines tendances spirituelles
religieuses au sein desquelles régnaient une sorte d’anarchie et au sein
desquelles chacune des tendances spirituelles avait ses petites
spécificités. Il n’y avait donc déjà plus vraiment d’unité, en même temps
qu’on assistait à un éparpillement des connaissances.
Lorsqu’il y a environ 3350 ans le Pharaon Aménophis III prit conscience
de la nécessité de faire une synthèse de tout cela, il arrivait à la fin de son
règne. De façon discrète, il a donc été amené à former son fils Aménophis
IV (le futur Akhenaton) à cet état d’esprit. Le Pharaon Akhenaton a
finalement réalisé ce que son père aurait souhaité faire de son vivant,
c’est-à-dire le regroupement et la synthèse de tout un corpus de données
thérapeutiques et spirituelles qui circulait depuis l’Aube des temps.
À cette époque, Akhenaton régne sur une Égypte qui s’étend sur tout le
bassin méditerranéen et qui a une influence jusqu’en Asie Mineure et en
Gaule. Il créé un collège de thérapeutes afin de rassembler l’essence de
cette culture thérapeutique et spirituelle. Akhenaton est en effet
parfaitement au courant de l’existence de prêtres très au fait de cette
culture thérapeutique. Il fait donc envoyer dans les pays dépendant de
l’empire égyptien plusieurs messagers afin d’essayer de contacter tous
ceux qui, dans leur contrée, avaient la réputation d’avoir des
connaissances dans ce domaine. Il réunit dans la ville d’Akhetaton un
certain nombre de ces prêtres-thérapeutes d’origines extrêmement
diverses dans le but de structurer ces connaissances ( 2).
À cette époque, il fût question de savoir si l’on devait ou pas mettre ces
connaissances par écrit. Les choses étaient en effet telles sur le plan
politique et Akhenaton a dû faire face à une telle adversité dans cette
période difficile, qu’il a été décidé que ce savoir ne serait pas plus mis par
écrit que cela ne l’avait été jusqu’alors. Akhenaton a tenu à ce que la
tradition thérapeutique se perpétue de façon essentiellement orale et que
les choses ne soient pas figées par écrit car certaines données touchaient
à la manipulation et à la structure des énergies de la matière. Il faut
comprendre que les prêtres-thérapeutes de cette époque étaient appelés
à mémoriser quantités de pages et donc davantage amenés à faire
travailler leur mémoire (analogue à un muscle qu’ils entraînaient), à un
point qu’il serait difficile de concevoir aujourd’hui. Ainsi donc s’est
structurée cette culture thérapeutique et spirituelle.
Les Égyptiens vivaient avec le peuple juif avec lequel il n’était pas question
d’esclavage systématique comme cela est mentionné dans la bible, mais
d’une forme d’entente et de collaboration entre les deux peuples. Les Juifs
sont tout simplement venus se réfugier sur le territoire de l’Égypte et à un
moment, il y eut une sorte d’entente entre les prêtres issus du judaïsme et
certains prêtres égyptiens. Au-delà des peuples et des traditions il y a des
êtres humains qui même s’ils n’ont pas la même culture, s’apprécient et
s’entendent.
Au-delà donc du grand clivage dont on parle historiquement et malgré
leurs différences, quelques prêtres issus du judaïsme, dont celui qui
deviendra Moïse, ont donc hérité de certaines connaissances égyptiennes.
En réalité, Moïse et ses proches en représentent le pont.
Lorsque les Hébreux ont quitté la terre d’Égypte pour aller vers Canaan,
Moïse s’était fait remarquer par les prêtres hébreux. Il est parti avec eux et
au fil des années leur a transmis, de façon souterraine, les connaissances
thérapeutiques, dont certaines étaient déjà connues des Hébreux.
Les Hébreux ayant déjà de nombreuses connaissances, les Égyptiens
n’ont pas offert cette connaissance thérapeutique à un peuple qui ne
savait rien, bien que faute d’un mariage de culture spirituelle, il fût
question non pas d’introduire des connaissances spirituelles égyptiennes,
mais plutôt de tout ce qui touchait à la structure énergétique et subtile de
l’être humain. En fait il est question d’un mariage entre ces deux cultures
thérapeutiques.
Lorsqu’après de nombreuses batailles en territoire de Canaan en
Palestine, les Hébreux ont commencé à s’y installer, ceux qui ont reçu les
informations thérapeutiques, et l’on pourrait également dire spirituelles et
extra-religieuses ou extra dogmatiques de Moïse, ceux-ci ont commencé
a constituer une micro société souterraine.
Dans le même temps la connaissance a continué à se développer et à se
propager également de façon souterraine en Égypte, dans ce qui est
connu aujourd’hui comme le territoire de la Syrie. On parlait alors du
“domaine babylonien”.
Vers environ l’an -350 de notre ère, Alexandre Le Grand, un Grec
macédonien dont on parle beaucoup et que l’on voit habituellement
comme un conquérant et un grand guerrier à la tête d’innombrables
massacres, entend parler de cette connaissance qu’avaient certains
prêtres et thérapeutes grecs de son peuple. Si Alexandre le Grand était un
chef de guerre, il était aussi un être qui avait la conscience de l’importance
d’une culture spirituelle profonde qui dépasserait les clivages des pays.
Alexandre Le Grand a ainsi initié une rencontre entre les thérapeutes
égyptiens, qui faisaient partie du domaine qu’il administrait et qu’il avait
conquis, et certains thérapeutes de Galilée. Il a voulu créer un collège de
sages aux alentours d’Alexandrie qui porte aujourd’hui son nom, et il a fait
également venir un certain nombre de thérapeutes grecs. Il y a donc eu un
mariage des connaissances égyptiennes, grecques, et d’origine hébraïque
(galiléenne). Dans le delta du Nil au bord du lac Maréotis, cela a donné
naissance à un petit village dont l’influence a été grandissante.
Lorsque quelques siècles siècles plus tard, Jeshua partit avec ses parents
pendant trois ou quatre ans à Denderah, dans cette région du Delta du Nil
en Égypte, juste avant d’être reconnu comme Avatar, il y eut des contacts
avec ces sages du bord du lac Maréotis. Les contacts étaient facile parce
qu’existaient des ponts… leur langue ainsi que leur culture spirituelle et
thérapeutique étaient très semblables. Un être comme Joseph, le père de
Jeshua, avait beau être dans la foi judaïque, il n’était pas dogmatique et
pouvait, de même que Meryem (Marie) la mère de Jeshua, aisément avoir
des échanges avec les Égyptiens et les Grecs.
Pour celles et ceux qui ont lu le premier tome du Livre secret de Jeshua,
lorsque Jeshua revient d’Asie, qu’il repasse par le Delta du Nil et qu’il
rencontre le vieux sage Maître Hamza (hamsa c’est aussi en arabe et dans
la tradition juive le nom de la “main”), il se rend précisément et tout
naturellement à cet endroit car il pressent bien qu’avant de rentrer chez lui,
quelque chose d’important l’y attend. Il finit donc de compléter sa
préparation intérieure parmi ce peuple qui ressemblait beaucoup aux
Esséniens dans sa façon d’être. Dans ce village, tout comme dans les
villages esséniens, il n’y avait sur le plan thérapeutique et spirituel pas de
distinction entre les hommes et les femmes. Chaque couple avait sa petite
maison avec une pièce centrale, un petit extérieur avec une cuisine, un
oratoire pour méditer ou prier, et une petite cour intérieure à l’air libre. Tout
était constitué ainsi pour une vie très contemplative qui se dissociait de
celle des Esséniens dans la mesure où les Esséniens étaient surtout des
gens portés dans leur tradition à travailler à l’extérieur, c’est-à-dire à se
mêler davantage à la société de leur temps. Les thérapeutes des environs
d’Alexandrie étaient eux davantage repliés en prière sur eux-mêmes.
Pour en revenir à Alexandre Le Grand, c’est lui qui a donc laissé dans le
bassin Méditerranéen un impact important par rapport à ces thérapies. On
peut comprendre qu’il y a eu des communications constantes entre les
Esséniens, apparus officiellement environ 150 ans avant notre ère,
lorsqu’ils sont entrés en contact avec ceux des alentours d’Alexandrie.
Alexandrie n’étant géographiquement pas si éloignée que cela, les
communications se faisaient essentiellement par mer et par bateau,
Attention toutefois, il est question ici de la fraternité essénienne des
petits villages et des collines de Galilée ainsi que des prêtres enseignants
du Krmel et non pas des Esséniens de Qumran.
Il faut ajouter aussi que le monastère du Krmel, avant d’être un monastère
essénien, fut d’abord une bâtisse érigée par les Égyptiens du temps du
Pharaon Aménophis III, le père d’Akhenaton. Il s’agissait d’une énorme
forteresse avec beaucoup de souterrains, de petites pièces cachées et des
terrasses sur les toit, typiquement égyptien dans sa conception.
Parmi ce courant sous-terrain véhiculé par Moïse et ses descendants, au
sein de ce qui allait devenir le mouvement essénien, il y a eu vers l’an -500
une scission. Certains êtres, extrêmement rigides et assez extrémistes
qui observaient le code du Lévitique (3), comme ce fût le cas à Qumram,
ont voulu être dans la voie monastique. Ceux-ci avaient développé une
espèce de sentiment de supériorité.
Ceux qui sont devenus les Esséniens des collines, du monastère du Krmel
et de la Galilée, n’ont pas développé ces tendances rigides et ascétiques
mais ont continuer à cheminer avec beaucoup plus d’ouverture. Il y a
donc eu comme une sorte de fracture au sein même de ce qui allait
devenir la Tradition essénienne. C’est ce qui fait d’ailleurs que malgré
Ses espoirs, Jeshua n’a jamais été le bienvenu à Qumram.
Quelques mots au sujet des Grecs dont je me reproche de ne pas avoir
assez parlé dans ce mouvement que l’on appelle aujourd’hui “thérapies
esséniennes et égyptiennes”…
Les Grecs, depuis la plus haute antiquité, ont développé les mêmes
principes thérapeutiques que les Égyptiens et que les futurs Esséniens
allaient développer. Le mot thérapeute en grec veut d’ailleurs dire “celui
qui prend soin de…” Dans cette notion de “prendre soin de”, il y a en
même temps une notion de s
ervice sacré et divin. Le véritable
thérapeute est donc celui qui consacre sa vie à “prendre soin de”. Pour
un grec et pour tous les thérapeutes découlant de cette tradition,
“prendre soin de”, cela signifie inévitablement à l’horizontale mais
également à la verticale.
C’est la raison pour laquelle, aussi bien en Galilée que chez les Égyptiens
ou chez les Grecs, lorsqu’une personne demandait ce qu’un thérapeute
faisait et de quoi il vivait et que le thérapeute pressentait qu’il était
forcément perçu comme un hérétique avec une connaissance dont il
fallait éventuellement se méfier, il répondait alors : “je suis tisserand”.
Ces tisserand travaillaient finalement sur les fils de la verticalité et sur
les fils de l’horizontalité comme de la même façon, les alchimistes se
sont fait appeler “teinturier”. Il y avait les tisserands et les teinturiers
qui tous deux travaillaient sur le tissu humain.
(1) Littéralement, on peut traduire le terme Elohim par “Celles et Ceux qui
viennent d’en-Haut”. Les Elohim tels qu’ils se définissent Eux-mêmes sont des
êtres humains et appartiennent à la même Vague de création de vie que la
nôtre. Ils n’ont de ce fait pas atteint le stade “angélique”. Ils ne sont ni des
“dieux” ni des “demi dieux”.
Voir Comment dieu devint Dieu - Une biographie collective et également Vu
d’en-Haut - Rencontre avec la Fraternité galactique
(2) Voir La Demeure du Rayonnant - Mémoires égyptiennes
(3) Le Lévitique est le troisième des cinq livres de la Torah. Il doit son nom au
terme « lévite », désignant les membres de la tribu de Lévi, traditionnellement
préposés au Temple et dont sont issus les prêtres. Il parle des devoirs
sacerdotaux en Israël.
© Daniel Meurois
Le soin à distance repose sur le principe de la projection de la conscience, c’est-à-dire sur la capacité qu’a l’Être d’envoyer une partie de son énergie psychique en un lieu précis, auprès d’une personne précise sans que la moindre notion de distance physique ne constitue un obstacle.
Protocole de soin à distance
Merci de me faire parvenir votre photo afin que je puisse entrer en contact avec vous. Un contact vidéo sur Messenger peut être envisagé si vous préférer.
Un peu avant l’heure convenu, prendre le temps de vous détendre et de respirer afin d’être dans un état de réceptivité optimal. Allumer une bougie près de vous et faites brûler un peu d’encens si vous apprécié afin de créer une ambiance propice à la réception du soin.
Vous serez idéalement installé dans une baignoire avec du sel marin et quelques gouttes d’essence de lavande (si vous en avez) que vous ajouterez à l’eau de votre bain une fois installé. Autrement, installer vous confortablement dans un endroit de votre choix en portant des vêtements souples et confortable.
Bon soin!
Code de déontologie du praticien-thérapeute de la tradition essénienne & égyptienne
https://esseniens.com/les-soins-esseniens/code-de-deontologie/
• Je ne fais aucun diagnostic de santé.
Il y a l’ITTEE qui a été créé, l’Institut de la Tradition Thérapeutique Essénienne & Égyptienne dont la maison mère est en France et qui a également un bureau en Italie, en Espagne, au Portugal et au Québec. L’ITTEE a été créée dans le but de préserver l’essence de l’enseignement et des connaissances qui nous ont été transmis et également dans le but de pouvoir donner un encadrement, un soutien et un suivi à tous les thérapeutes formés selon la méthode de Daniel Meurois et Marie-Johanne Croteau-Meurois.
''Le corps est la porte, le cœur est sa serrure et l’amour est sa clef…''
Source: Le maître Jeshua du livre secret de Jeshua - Tome 2. Daniel Meurois des Éditions Le Passe-Monde
Suite à certaines questions qui lui sont posées régulièrement ainsi qu’à des rumeurs persistantes, Daniel Meurois tient aussi à faire savoir expressément à ses lecteurs et amis qu’il n’approuve et ne cautionne d’aucune façon les déclarations et affirmations faites par Anne Givaudan, que ce soit par écrit ou par vidéo-conférences interposées.
Il insiste également sur le fait que Anne Givaudan et lui ne forment plus un couple depuis bientôt 30 ans, qu’ils ne vivent plus sur le même continent, ne travaillent donc plus ensemble et ne constituent en aucune façon un ¨couple dans l’invisible¨, contrairement à ce que certain(e)s aiment encore à croire ou à faire croire.
De la même façon, Daniel Meurois, sans vouloir entrer dans les polémiques, ne peut plus soutenir aujourd’hui le travail mené par Bernard Rouch, ainsi qu’il l’avait fait il y a de nombreuses années.
Daniel Meurois prie donc ses amis lecteurs d’user de tout leur discernement et de ne pas faire ainsi d’amalgame.
Merci !
******
Depuis de nombreuses années, Daniel Meurois tient à souligner et à rappeler avec vigueur que son travail, ses livres, ses conférences et son nom n’ont absolument rien à voir avec l’organisation de ¨L’Ordre des Esséniens¨ créée par Olivier Manitara, alias Olivier Martin. Bien que celui-ci soit décédé soudainement en 2020, son mouvement continue de se répandre sous l’action de plusieurs ¨successeurs¨ ou ¨porte-parole¨, au Québec, en France, en Suisse et au Panama, un paradis fiscal, comme chacun sait.
Daniel Meurois affirme donc avec vigueur être totalement étranger aux faits et gestes ainsi qu’aux initiatives, comportements et déclarations dont Olivier Manitara a été l’auteur de son vivant ainsi qu’à tout ce qui se rapporte à celles et ceux qui tentent aujourd’hui de prendre sa relève d’une façon ou d’une autre, notamment un certain Guilhem Cayzac.
Daniel Meurois réprouve tout de l’organisation, parfois subtilement déguisée, de ¨L’Ordre des Esséniens¨, des auto-proclamations de son fondateur dont il déplore que celui-ci ait dénaturé et sali le terme d’Essénien – jusque-là respectable – et ait ainsi semé la confusion.
Daniel Meurois œuvre aujourd’hui de façon étroite, soutenue et continuelle, avec son épouse Marie Johanne Croteau Meurois qui, comme lui, s’est engagée depuis très longtemps avec cœur et simplicité sur la voie du Service et de l’ouverture de la Conscience
J’ai vécu ma première expérience de soins esséno-égyptien l’an dernier alors que je vivais un gros deuil. Guylaine Bombardier m’avait proposé à ce moment un traitement d’apaisement général. J’ai tout de suite apprécié l’approche douce et non intrusive de ce type de soin. J’y ai vécu un bain de douceur qui a agis profondément et m’a aidé à retomber sur mes pattes. Par la suite, Guylaine m’a traité pour un inconfort, une sorte de brûlure que je ressentais sur un de mes seins depuis des mois et qui m’inquiétais. J’ai ressenti durant le traitement une fraîcheur, comme si l’apaisement se faisait profondément dans mes tissus. La douleur s’est complètement résorbée et n’est pas réapparue depuis. Dans les mois qui ont suivis, j’ai eu la chance de vivre plusieurs autres traitements qui ont tous apportés une harmonisation profonde dans mon corps, émotionnellement et dans l’équilibration de mes chakras. Pour avoir beaucoup développé mon ressenti des énergies subtiles depuis 20 ans, je suis convaincu que les soins Esséniens & Égyptiens agissent efficacement et réellement en profondeur tout en étant d’une douceur incomparable. C’est une belle expérience à vivre. J’ai d’ailleurs recommandé à plusieurs reprises des soins égyptiens avec Guylaine à des amis proches et des clients. C’est un beau cadeau à se faire à soi-même.
Quand je suis entrée, j’ai tout de suite ressenti… Je me suis sentie à l’aise et je me suis laissée guidée sans savoir ce que c’était…
Je ne savais vraiment pas à quoi m’attendre quand j’ai appelé pour prendre rendez-vous. Je suivais une intuition. J’avais bien sûr regardé sur internet ce qu’était un soin esséno-égyptien. J’ai lu sans toutefois saisir.
Ce soin a été une découverte impressionnante pour moi. J’avais essayé plusieurs autres soins énergétiques avant mais j’ai découvert dans le soin esséno-égyptien une approche qui me semble couvrir plusieurs aspects; énergie, huile, son, odeur, souffle, toucher, chakra, méridiens… On dirait que tout était sollicité avec une précision et une douceur impressionnante.
À la suite de mon soin, j’ai tout de suite ressenti :
- Un regain de vitalité; comme si quelque chose circulait librement, enfin…
- Une légèreté dans mon corps; à la suite d’une opération à cœur ouvert qui semblait alourdir chaque cm de mon corps, cette sensation était quasi inespérée…
- Une fluidité, simplicité et clarté de mes pensées.
- Que j’étais solidement ancrée.
Le lendemain du soin, j’étais encore dans cet état. J’ai spontanément envoyé un petit message de gratitude à Guylaine :
Je voulais te partager que depuis le soin d’hier matin, je me sens tellement alignée dans mon corps. Je n’avais pas ressenti ça depuis plusieurs années. J’ai aussi une douce vitalité. J’ai l’impression d’avoir reconnecté avec mon essence. Merci est un bien simple mot pour exprimer ma gratitude.
Ce bien-être m’a accompagné plusieurs jours… Me permettant de faire des expériences différentes, d’entrevoir certaines choses différemment et surtout de retrouver une paix intérieure.
C’est comme si j’avais eu une douce chirurgie lumineuse de l’âme!
Merci!
Wow! Soin de qualité physique et énergétique extraordinaire, intense et paisible à la fois. Moment de douceur, de compassion et de lumière dans un décor digne d'une oasis de guérison pour l'âme et le corps, dans une propreté impeccable. De plus, tout ça sur une musique vibratoirement élevée! J'ai déjà hâte à ma prochaine séance et mon corps aussi. Ça m'a fait énormément de bien à tous les niveaux, merci Guylaine, c'est un de mes meilleurs soins à vie!
J’ai eu le privilège de recevoir des soins de Guylaine à quelques occasions. Chaque fois j’en suis ressortie plus détendue et connecté, les soins m’aide à reconnecter avec mon corps. On sent qu’elle travaille non seulement le corps physique mais le corps énergétique aussi, il y a un relâchement au niveau des émotions (je dois avouer avoir versée quelques larmes aux deux occasions). C’est une détente complète dans un environnement confortable, zen et paisible qui me fait un grand bien.
J’avais entendu parler des soins quelque fois par mon entourage, malgré tout, je ne savais pas trop à quoi m’attendre. Je me suis dit, si ça ne fonctionne pas, au moins ça va me détendre. Je souhaitais surtout calmer mon anxiété. J’ai été accueilli par Guylaine dans son charmant studio et le soin s’est bien passé, c’était très doux et apaisant. Ce qui m’a le plus étonné c’est lorsque je suis revenu dans ma voiture car je devais, comme d’habitude, choisir ma musique. J’écoute normalement du rap, mais bizarrement aucune de mes musiques normale ne me plaisait, je pensais que c’était juste dû au fait que j’étais très calme mais le phénomène a duré plusieurs semaines. Pendant quelques jours, j’ai aussi cesser de sentir mon stress habituel et ça m’a poussé à enlever de ma vie ce qui me donnait de l’anxiété. Mon expérience a été fantastique, j’ai vraiment beaucoup aimé et je recommande les soins à 100%.
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